Principaux objectifs de l'accompagnement 

-Sortir du brouillard émotionnel du divorce.

-Réduire les conflits avec l'ex-compagne.

-Resserrer les liens avec les enfants.

-Passer les écueils, gérer les priorités.

-Reprendre confiance, faire face à la vague.   

-Se projeter, définir le cap, éviter les dérives.

-Retrouver son ancrage antérieur.

-Réparer les dégâts pour aller de l'avant.

Nous aidons les hommes à ne pas subir la séparation, mais à la traverser avec clarté, stabilité et responsabilité.

Ce que vous apprendrez, à mieux faire :

• Préparer vos audiences : posture, langage, documents, stratégie émotionnelle.

• Communiquer efficacement avec les institutions (École, ASE, JAF, services sociaux).

• Renforcer le dialogue avec votre avocat, notaire, banquier.

• Repérer les alliances implicites (ex : solidarités maternelles) et/ou féminines) sans tomber dans la victimisation.

• Éviter les auto-sabotages (réactivité, SMS impulsifs, désorganisation).

• Gérer les échanges digitaux avec votre ex de manière stratégique et désescaladante.

• Maintenir un lien actif avec vos enfants malgré la distance : devoirs, sécurité, partage émotionnel.

• Rester présent sans surcontrôler : être un repère, pas un surveillant.

• Construire une autorité juste, posée et bienveillante, rester un père crédible.

• Préserver le futur de vos enfants, même quand le couple, se désagrège.

Ce que vous gagnez à court terme :

• Une clarté d’action à chaque étape de la procédure.

• Une posture renforcée devant votre ex, les juges, les enfants.

• Une maîtrise émotionnelle solide, non réactive.

• Le sentiment de redevenir un homme debout, un père stable qui tient le cap.

Vous ne contrôlez pas la séparation. Mais vous pouvez choisir quel homme vous serez, dans cette séparation.

Les erreurs fatales des pères en situation de divorce, et comment les éviter pour rester un pilier stable et sécurisant dans votre rôle de père.

❌ 1. Vouloir "gagner" contre son ex. au lieu de préserver le lien parental

Le risque : Transformer le conflit conjugal en guerre parentale. Résultat : l’enfant devient messager, témoin ou otage. Se présenter comme un adversaire plutôt qu'en parent coopérant est contre-productif, mais comment tenir cette posture en toutes circonstances? ( analyse psycho-traumatologique  ou schémas - séance- exercices - ) 

Conséquence Juridique: Le juge valorise toujours la capacité à maintenir un dialogue parental. Une posture conflictuelle peut nuire à la demande de résidence alternée ou de droit de visite élargi.

La posture juste: Remettre l’enfant au centre, pas l’ex. Travailler sur la coparentalité même si l’autre ne coopère pas.

❌ 2. Réagir à chaud : SMS impulsifs, menaces, phrases définitives( Sms, mails, reseaux sociaux)

Le risque :  Ces messages sont le fruit de votre colère, de votre incompréhension et de votre isolement, vider ainsi votre sac par écrit est très pénalisant. Cela ne sert à rien, vis a vis de votre ex;  cependant ils sont néanmoins nécessaires pour vous , pour faire le deuil de la relation. (notre atelier vous permettra d'acquérir tous les outils afin de libérer et de prendre de la distance avec cela- Théorie des schémas - Théorie narrative).  

Conséquence juridique  : Ces messages peuvent être produits en audience comme éléments à charge,  ils peuvent être interprétés comme des signes d'instabilité voire de dangerosité et vous discréditer totalement devant les juges, en cas de garde conflictuelle. 

La posture juste : Temporiser, formuler à froid, utiliser nos outils pour décharger ses colères et les interpréter  ( Théorie narrative et TCC.

❌ 3. Se couper émotionnellement des enfants pour "ne pas souffrir"

Le risque : Créer un vide émotionnel que l’ex peut combler, attendre que tout soit réglé, pour reprendre contact, ou se replier par peur de mal faire, vous fait prendre le risque de perdre votre place et votre légitimité dans le cœur de l’enfant ( mais comment faire , quelles techniques, et si je n'ai plus de contact)  

Conséquence juridique : L'absence de liens réguliers peut être interprétée comme un désintérêt ou une instabilité.

La posture juste : Maintenir le lien, même simple (rituels, appels, dessins, mots doux, devoirs). Ce n’est pas la quantité : c’est la constance qui compte, même à distance documenter ces échanges.

❌ 4. Se présenter comme une victime ou tenter de se justifier en boucle

Le risque : Donner une image instable, passive ou défensive — peu rassurante pour un juge ou un enfant - ( apprendre à gérer ses émotions - préparation mentale - désensibilisation des blessures du passé - séances )

Conséquence juridique : Le juge évalue le stabilité émotionnelle du parent ; S'énerver, s'effondrer, pleurer sur soi-même, donner une impression de confusion peut desservir la demande de garde.

La posture juste : Être clair, posé, orienté solution. Ne pas se défendre — mais s’affirmer avec calme.

❌ 5. Faire passer son mal-être avant l’intérêt de l’enfant

Le risque : S’effondrer, se laisser submerger émotionnellement, développer des attitudes laissant supposé que vous êtes dépendant affectivement de l’enfant ou que vous l'utilisier pour combler un vide ( travailler ses ancrages émotionnels - Séances TCC - ) 

Conséquence juridique : Le juge évalue trés négativement ces attitudes, considérées comme des symptômes d'unstalbilité dépressive.

La posture juste : Se faire accompagner. Travailler son ancrage émotionnel. Être un père solide, parce que soutenu.

Vous entrez dans un processus de divorce ? Ce que vous traverserez pourra ressembler à ceci !

• Doutes, colère, sentiment d’injustice,

• Enquêtes sociales chez vous, auprès de vos proches, travail, 

• Audience JAF, pension, perte du domicile,

• Toujours plus d'un côté , toujours moins du votre,

• Peur de perdre votre place auprès de vos enfants,

• Sentiment d’être seul, disqualifié, incompris,

• Communication impossible avec l’ex,

• Fatigue nerveuse, confusion mentale, débordement émotionnel,

Après une séparation, être père ne s'improvise pas mais se construit !

Un homme soutenu est un père solide !